19 : « the 5th Dalai Lama decided to make the capital of Tibet and to build himself a palace there on the remains of one built in the seventh century by Srongtsen maillot venezia Gampo. Le 12 mars 1992, le conseil d’administration du club a publié un communiqué de presse fixant le capital social à souscrire (le club a déterminé un chiffre pratiquement identique à celui fixé par la commission mixte; 2 062 millions de pesetas) , le nombre d’actions émises et les phases et modalités d’acquisition de celles-ci par les partenaires intéressés. L’OM est sorti en huitième de C1 par le Sparta Prague. Après avoir manqué l’édition de la Coupe du monde de football 1990, les Marocains se qualifient pour deux nouvelles phases finales, en 1994 et 1998. Si leur élimination au premier tour en 1994 est logique (3 défaites (0-1 contre la Belgique, 1-2 contre l’Arabie saoudite, but de Mohammed Chaouch et 1-2 contre les Pays-Bas, but de Hassan Nader), celle de 1998 est cruelle. Le sélectionneur Didier Deschamps est absent de l’événement, car il prépare la Coupe du monde de football 2018, qu’il remportera en juillet.
Pour cette CAN 2015, la 30e édition, le Mali est dans le groupe le plus relevé et affronte le Cameroun pour son entrée dans la compétition. Pour son entrée en lice dans la compétition, le Stade rennais débute bien mal en concédant la défaite sur le terrain de l’Austria Lustenau, modeste club autrichien. Il s’agît par ailleurs de la deuxième finale de compétition européenne accueillie par la ville de Lyon, qui a déjà été l’hôte de la finale de la Coupe des coupes en 1986 qui avait alors vu le club soviétique du Dynamo Kiev l’emporter face à l’Atlético de Madrid sur le score de 3-0 au stade de Gerland. Dans les années 1960, marquées par la rupture sino-soviétique, Moscou mit en doute le caractère historique de la souveraineté de la Chine sur le Tibet. Mongolian Gushri Khan swept into Tibet and put his religious sage, the Fifth Dalai Lama, in charge of the country.
157 : « the therm Buddhist Governement, that refers to the symbiotic relationship between religion and state, was a common idea between the Tibetans, Mongolians and Manchus from the latter half of the 16th to the middle of the 17th century. ↑ (en) Samten G. Karmay, Religion and Politics: commentary, septembre 2008 : « from 1642 the Ganden Potrang, the official seat of the government in Drepung Monastery, came to symbolize the supreme power in both the theory and practice of a theocratic government. This time the Dzungars were defeated, and in October 1720 the Qing army entered Lhasa with the new seventh Dalai Lama ». ↑ Heinrich Harrer, Seven Years in Tibet, with a new epilogue by the author. His government would be known as the Ganden Palace, after his residence in Drepung monastery; the name would stick down to the twentieth century. « from 1642 the Ganden Potrang, the official seat of the government in Drepung Monastery, came to symbolize the supreme power in both the theory and practice of a theocratic government. ↑ (en) Sam Van Schaik, Tibet: A History, Yale University Press, Newhaven and London, 2011 (2013 pour la version livre de poche), p. Ceux-ci ont le statut de sportif amateur à partir de la création du club en 1906 jusqu’en 1933. Cette année-là ils obtiennent le statut de joueur de football professionnel, le professionnalisme étant ensuite abandonné pendant la Seconde Guerre mondiale puis en 2011 en raison de la chute sportive du club.
Fabien Dorier, Football Club Sochaux-Montbeliard 1929-2008, 2008, 168 p. Il avait toujours un mot pour rire, pour décontracter, aider ceux qui étaient parfois en difficulté dans le club. Tong houa lou dans Courant, Asie Centrale, 23-25. Schulemann, Gesch. ↑ René Grousset, « L’Empire des steppes – Attila, Gengis-khan, Tamerlan », Classiques de l’Université du Québec à Chicoutimi, « Le khanat khochot du Tsaïdam et du Koukou-nor, protecteur de l’Église tibétaine », pages 644 à 647. Page 645 : « Dans une première expédition (vers 1639 ?), il entra au Tibet, et défit tous les ennemis du dalaï-lama, tant partisans du clergé rouge que sectateurs de la vieille sorcellerie bon-po. ↑ René Grousset, « L’Empire des steppes – Attila, Gengis-khan, Tamerlan », Classiques de l’université du Québec à Chicoutimi, 1938. Voir le chapitre « Le khanat khochot du Tsaïdam et du Koukou-nor, protecteur de l’Église tibétaine (pages 644 à 647) ». « The Imperial Era », sous-chap.